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  • 别回头

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    纪录片

    这部纪录片是对鲍勃迪伦1965年英国巡演的忠实记录,导演彭内贝克用影像清晰的说明那时的鲍勃迪伦与披头士是多么的不同。与同时期的《苦难日之夜》相比,《别以家之名在线观看回头》更直接,深刻,对自己的拍摄对象也没有造星般的刻意吹捧,甚至还毫不掩饰的可以嘲讽,但是,再冷静的镜头都无法掩盖泷泽罗拉qvod年轻迪伦的灿烂光芒,同现在的老迪伦相比,年轻的他无与伦比的傲慢,机智,激情洋溢,而其中一段以垮掉派代表艾伦金斯堡为背景的开场更是弥足珍贵。

  • 巴勒斯:一部电影

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    纪录片

      Burroughs: The Movie explores the life and times of controversial Naked Lunch author William S. Burroughs, with an intimacy never before seen and never repeated. The film charts the development of Burroughs' unique literary style and his wildly un含羞草实验室入口直接进首页conventional life从斗罗开始打卡教皇怀孕, including his travels from the American Midwest to North Africa and several personal tragedies. Burroughs: The Movie is the first and only feature length documentary to be made with and about Burroughs. The film was directed by the late Howard Brookner. It was begun in 1978 as Brookner's senior thesis at NYU film school and then expanded into a feature which was completed 5 years later in 1983. Sound was recorded by Jim Jarmusch and the film was shot by Tom DiCillo, fellow NYU classmates and both v河北经济直播ery close friends of Brookner's.

  • 别回头1967

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    纪录片

      这部纪录片是对鲍勃迪伦1965年英国巡演的忠实记录,导演彭内贝克用影像清晰的说明那时的鲍勃迪伦与披头士是多么的不同。与同时期的《苦难日之夜》相比,《别回头》更直接,深刻,对自己的拍摄对象也没有造星般的玉浦团之玉女心经刻意吹捧,甚至还毫不掩饰的可以嘲讽,但是,再冷静的镜头都无法掩盖年轻迪伦的灿烂光芒,同现在的老迪伦相比,年轻的他无与伦比的傲慢,机智,激情洋溢,而其中一段以垮掉派代表夺天少帅艾伦金斯堡为背景的开场更是弥足珍贵。

  • 笔记·日志·素描

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      Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des a电视剧青梅竹马rbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000

  • 当我往前走之时偶尔会瞥到一缕美丽之景

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      My film d芭比公主全集中文版iaries 1970-1979: my marriage, children are born, you see them growing up. Footage of daily life, fragments of happiness and beauty, trips to France, Italy, Spain, Austria. Seasons of the year as they pass through New York. Friends, home life, nature, unending search for moments of beauty and celebration of life friendships, feelings, brief moments of happiness. The film is also my love poem to New York. It’s the ultimate Dogme movie, before the birth of Dogme. —Jonas Mekas

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